Volga et moi
lundi, janvier 24, 2005
C'est ma première surprise partie ...
... C'est ma première surprise partie !!!!
Oui, je sais, je suis encore un peu jeune, donc il ne faut pas espérer que cela se déroule la nuit, dans ce moment ou y'a plein de siamois partout (ne dit on pas que la nuit tous les chats sont gris ? ), mais mes deux-pattes m'ont tout de même accompagnée à ma première surprise partie hier.
Je vous explique : alors que j'étais tranquillement vautrée sur le dossier du canapé, à profiter d'un rayon de soleil et à me reposer d'un long effort, j'ai rien compris, car mes deux-pattes ont mis leur fourrure. Vous l'avez sans doute remarqué, vous aussi, les deux pattes, ce sont des animaux étranges qui perdent leur fourrure sans raison, et donc sont obligés d'en avoir en stock.. On voit bien que les deux pattes sont bien inférieurs à cette pure merveille de la nature que sont les boulettes françaises...
Mais je m'écarte, revenons donc à nos moutons (il faudra un jour que je vous parle de mon mouton et de mon rene, mais ce n'est pas pour ce soir)...
Moutons, moutons, moutons (comme je suis fainéante, enfin, comme je n'aime pas les efforts inutiles, plutôt que de revenir à eux, je les fais venir à moi) ...
Hier donc, alors que je me remettais de l'aide précieuse apportée à mes deux pattes dans la destructions de cartons (et j'y suis allé de toutes mes quenottes, je vous prie de me croire) ils se sont enfourrurés, et se sont attachés à moi, pour ne pas se perdre sans doute, vu leur sens de l'orientation...
Après cela, direction un parc avec un espace dédié aux boulettes, et en arrivant (bien sur, j'étais la première), j'ai retrouvé des copines à moi.
D'abord, y'a eu Volga qui est arrivée. Volga, c'est une grande, enfin, par l'âge : elle a neuf mois. Mais en taille, elle est plus petite que moi. Et elle est pas comme moi, enfin pas exactement, car si c'est aussi une merveille de la nature, elle est bringée elle... On a commencé à se flairer, pour se présenter, que voulez vous, nous sommes des boulettes polies et bien élevées, puis on a continué à courir partout. On tournait autour de nos deux pattes (oui, Volga était venue avec les deux siennes, pour pas les laisser seules à la maison, sinon elles ont tendance à faire des bêtises), on se courrait après, on s'est bien amusées...
Ensuite, (car une sur'pat(tes) à deux c'est bien, à trois c'est mieux, je suis bien d'accord...) y'a Zia qui est arrivée. Zia, c'est aussi une boulette, mais c'est un bébé, pensez, elle a un jour de moins que moi... Elle est toute menue, mais c'est une des notres, c'est l'essentiel. On a donc laissé nos deux-pattes en tas, pour mieux les surveiller, et on a joué encore un moment, c'était super...
Quand on s'est séparées, on a dit qu'on allait recommencer, mais avec plein de monde, et on a déjà fixé le lieu et le jour : ce sera au bois de Vincennes, pour les boulettes qui connaissent, et le 27 février. J'espère que vous viendrez, c'est trop d'la balle, même sans balle, ces trucs...
mercredi, janvier 19, 2005
surprise surprise
Le Week end dernier, il m'est arrivé une chose très désagréable, je vous prie de me croire : je me suis retrouvée atteinte d'une maladie qui vous est courante (c'est le cas de le dire) à vous, deux-pattes, mais que je ne connaissais pas (bon d'accord, vous allez me rétorquer que c'est assez normal, vu mon jeune âge...) : une gastro-machin-ite (désolée, c'est trop compliqué pour moi, je sais pas encore l'écrire)
Mais même si je ne sais pas l'écrire, je vous assure que j'en ai supporté les effets de plein fouet !!! C'était très désagréable, et je suis plus que contente que ce soit terminé...
M'enfin, je ne suis pas là pour vous parler de ça, mais plutôt de ce qui se passait dans ma petite tête de toutou alors que j'étais allongée au pieds de mon deux-pattes. Et je vous INTERDIS de penser que puisque j'ai une petite tête je suis une petite tête...
Donc, à quoi pensais-je ? A ma surprise, mon étonnement, mon émerveillement lorsque j'ai découvert que dans cette niche, nous étions deux merveilles ! Oui je sais, vous, les deux pattes, vous en avez plusieurs, mais ici, jusqu'à présent j'étais la seule, la vraie, et l'unique merveille de cette niche, de ma niche...
Et quelle joie fut la mienne de découvrir, cachée dans une niche à part (elle doit être timide, c'est la seule raison) ma soeur jumelle. Elle est, il faut l'avouer, presque aussi belle que moi, avec ses grands yeux noirs, ses oreilles mobiles et sa petite queue en tire bouchon.
Depuis lors, on joue souvent, mais je n'arrive pas encore à la faire sortir de sa niche. Pourtant, j'essaye, je la nargue, en me cachant hors de son champs de vision, et en réapparaissant d'un coup, espérant q'elle acceptera de me suivre. Rien n'y fait. Je me suis même demandée si elle n'était pas, comme cela m'arrive parfois (mais très rarement, et toujours par incompréhension de mes deux-pattes, les pauvres, ils sont si primaires... Mais n'allez pas le leur répeter, en plus ils sont susceptibles), punie et enfermée dedans. Je suppose que c'est le cas, car quand j'ai essayé de manger sa prison, mon deux-pattes m'a empêché de continuer, en faisant la grosse voix en criant mon nom. Mais sa punition dure plus que les très rares miennes...
Bon, ce n'est pas grave, je suis sur qu'un jours elle sortira, et ce jour la, on pourra jouer partout. En attendant, on reste devant sa niche, et on s'amuse beaucoup.
Sur ce, je vous fais une grande léchouille, et je vais voir si elle est là, j'ai envie de jouer un peu.
jeudi, janvier 13, 2005
Un week-end à la campagne
Il ne me semble pas vous avoir parlé de mon dernier week-end.
En bonne petite parisienne qui se respecte, j'ai une niche secondaire en Normandie, que je condescends à prêter à une mienne aïeule, lorsque je n’y vais pas. Je l’aime bien, je ne vais rien dire contre elle, elle me fait plein de caresses. Mais je dois bien reconnaître qu’elle a un comportement des plus étranges : pensez qu’elle a ouvert ses portes à… un chat…
Un chat, que dis-je, un tigre, une tigresse même. Elle a pourtant un joli nom, elle s’appelle Ophélie. Mais elle a un toupet monstre : elle se considère chez elle, et admet à peine ma venue.
Bilan, comme je suis tout de même chez moi, je tiens à le rappeler, la demoiselle Ophélie se retrouve enfermée dans ses appartements, ce qui est la moindre des choses.
Bon, je ne peux pas dire que je ne l’aime pas, non, ce n’est pas mon propos, ce que je veux dire c’est qu’il faut tout de même être bizarre pour choisir ça plutôt que le meilleur ami du deux-pattes, dont le Bouledogue Français est, il faut bien le reconnaître, le plus digne et le plus beau représentant.
Et pas la peine de me rappeler que ma modestie n’a d’égales que ma beauté et mon intelligence, je le sais pertinemment bien.
Mais trêve de billevesées, je ne suis pas là pour vous rappeler de telles évidences, même vous, avec la tête perdue si haut dans les nuages que le sang doit peiner pour y arriver, vous ne pouvez qu’acquiescer.
Donc ce week-end, c’était en route pour la Normandie, avec mes deux-pattes pour m’y conduire. Vous ne pensez pas que je m’y serais rendue en usant mes petits coussinets tout roses… Non non, on est monté dans la boîte bruyante, qui sent mauvais et qui vibre et tressaute, et quand on est sorti, on y était, comme par magie.
J’aime beaucoup allez là bas, car il y a un grand terrain de jeu, recouvert d’une herbe tendre et bonne à manger, et plein d’odeurs nouvelles. Mais d’ailleurs y’a pas que de l’herbe à manger. Ne croyez pas que, parce que je RESSEMBLE à une vache bretonne (et bien non, même pas normande, reprenez vos cours de vacherie comparée, c’est un domaine que vous maîtrisez pourtant assez bien, en général, vous les deux-pattes) je me contente de ça. Que nenni ! Il y a aussi de vieilles pommes, des champignons, et plein d’autres choses.
Bon, il n’y a qu’une chose que je n’aime pas quand je suis là bas : je dois faire jouer mon deux-pattes : je m’explique : il a tendance a s’empâter à ne pas bouger de son fauteuil (vous savez, il a un « boulot » avec un téléphone et un ordinateur, et à cause de ça il se croit important…), et comme moi je le préfère en forme, je le fais jouer : c’est très simple , il suffit de lui montrer une assiette en plastique, de remuer du popotin (et vous me verriez j’y excelle) et hop, direction le jardin. Son jeu consiste à envoyer l’assiette, et il attend que je la lui rapporte. Mais pas folle la bête, moi je n’ai pas besoin d’exercice, alors je me dirige vers l’assiette, je la mordille, et je le nargue, en le regardant. Il aboie un coup, dans cette langue tellement étrange que je me mordrais la langue si j’essayais, puis comme il est très joueur, il court vers moi, reprend son assiette, la renvoie au loin, et le jeu continue. Quand j’estime qu’il s’est assez dépensé, on rentre, et pour se reposer, il va se vautrer (à nouveau) dans son panier. Vraiment, ces deux-pattes…
Mais ce n’est pas grave, je l’aime bien quand même mon deux-pattes, et j’aime bien quand il m’emmène gambader…
Alors en attendant qu’il recommence, je vais allez faire une petite sieste sur ses genoux
En bonne petite parisienne qui se respecte, j'ai une niche secondaire en Normandie, que je condescends à prêter à une mienne aïeule, lorsque je n’y vais pas. Je l’aime bien, je ne vais rien dire contre elle, elle me fait plein de caresses. Mais je dois bien reconnaître qu’elle a un comportement des plus étranges : pensez qu’elle a ouvert ses portes à… un chat…
Un chat, que dis-je, un tigre, une tigresse même. Elle a pourtant un joli nom, elle s’appelle Ophélie. Mais elle a un toupet monstre : elle se considère chez elle, et admet à peine ma venue.
Bilan, comme je suis tout de même chez moi, je tiens à le rappeler, la demoiselle Ophélie se retrouve enfermée dans ses appartements, ce qui est la moindre des choses.
Bon, je ne peux pas dire que je ne l’aime pas, non, ce n’est pas mon propos, ce que je veux dire c’est qu’il faut tout de même être bizarre pour choisir ça plutôt que le meilleur ami du deux-pattes, dont le Bouledogue Français est, il faut bien le reconnaître, le plus digne et le plus beau représentant.
Et pas la peine de me rappeler que ma modestie n’a d’égales que ma beauté et mon intelligence, je le sais pertinemment bien.
Mais trêve de billevesées, je ne suis pas là pour vous rappeler de telles évidences, même vous, avec la tête perdue si haut dans les nuages que le sang doit peiner pour y arriver, vous ne pouvez qu’acquiescer.
Donc ce week-end, c’était en route pour la Normandie, avec mes deux-pattes pour m’y conduire. Vous ne pensez pas que je m’y serais rendue en usant mes petits coussinets tout roses… Non non, on est monté dans la boîte bruyante, qui sent mauvais et qui vibre et tressaute, et quand on est sorti, on y était, comme par magie.
J’aime beaucoup allez là bas, car il y a un grand terrain de jeu, recouvert d’une herbe tendre et bonne à manger, et plein d’odeurs nouvelles. Mais d’ailleurs y’a pas que de l’herbe à manger. Ne croyez pas que, parce que je RESSEMBLE à une vache bretonne (et bien non, même pas normande, reprenez vos cours de vacherie comparée, c’est un domaine que vous maîtrisez pourtant assez bien, en général, vous les deux-pattes) je me contente de ça. Que nenni ! Il y a aussi de vieilles pommes, des champignons, et plein d’autres choses.
Bon, il n’y a qu’une chose que je n’aime pas quand je suis là bas : je dois faire jouer mon deux-pattes : je m’explique : il a tendance a s’empâter à ne pas bouger de son fauteuil (vous savez, il a un « boulot » avec un téléphone et un ordinateur, et à cause de ça il se croit important…), et comme moi je le préfère en forme, je le fais jouer : c’est très simple , il suffit de lui montrer une assiette en plastique, de remuer du popotin (et vous me verriez j’y excelle) et hop, direction le jardin. Son jeu consiste à envoyer l’assiette, et il attend que je la lui rapporte. Mais pas folle la bête, moi je n’ai pas besoin d’exercice, alors je me dirige vers l’assiette, je la mordille, et je le nargue, en le regardant. Il aboie un coup, dans cette langue tellement étrange que je me mordrais la langue si j’essayais, puis comme il est très joueur, il court vers moi, reprend son assiette, la renvoie au loin, et le jeu continue. Quand j’estime qu’il s’est assez dépensé, on rentre, et pour se reposer, il va se vautrer (à nouveau) dans son panier. Vraiment, ces deux-pattes…
Mais ce n’est pas grave, je l’aime bien quand même mon deux-pattes, et j’aime bien quand il m’emmène gambader…
Alors en attendant qu’il recommence, je vais allez faire une petite sieste sur ses genoux
dimanche, janvier 09, 2005
Les plaisirs de la vie
Il y a une chose que j'aime BEAUCOUP, et pour laquelle j'ai dû dresser mes deux-pattes : les promenades multi-quotidiennes. j'ai d'ailleurs trouvé un signal olfactif que tous ceux de ma race connaissent très bien pour faire comprendre à mes deux-pattes qu'il serait temps qu'ils bougent un peu, avant qu'ils ne soient pétrifiés, lui devant son ordinateur, elle à l'écoute de sa musique...
En effet, quand on est comme moi pleine d'énergie, il faut bien trouver un moyen de se défouler. Et quel meilleur moyen connaissez vous que se promener longuement, le nez au ras du sol, à humer tout ce qui s'y trouve.
Dans le cadre desdites balades, il y a deux plaisirs supérieurs à tout : le premier consiste à trouver sur le sol une de ces petites boules à macher, que les deux-pattes, avec leur odorat limité, jettent dédaigneusement, alors que c'est encore plein de saveurs. Le deuxième est encore meilleur, c'est se retrouver entre ami(e)s de toutes races... J'adore ça : dès que je vois un copain ou une copine, je suis sur que je vais bien m'amuser... Et j'en ai plein : Tchouk le golden retriever, Starsky le boxer, ou le husky, dont j'ai encore du mal à comprendre le nom, il faut dire que, en plus de ses yeux bleus pales (il fait craquer mon coeur de petite boulette....) il a un accent à couper au couteau.
Mais comme vous pouvez le voir, c'est avec Tchouk que je m'amuse le plus. Il est immense, mais on s'amuse a emmeler les cordes qui nous servent à retenir nos deux-pattes, et après, on se flaire partout, c'est l'extase..
Enfin, je comprends bien que cela ne vous branche pas, vous les deux-pattes, il faut dire que vous ne sentiriez même pas la présence d'un de vos congénères si on ne vous le mettait pas en face de vous...
Bon, pas grave, je vous aime bien tout de même.
Et pour la peine, je retourne machouiller la gomme de tout à l'heure, elle a encore un peu de parfum de cerise, je crois, ou de fraise... En tout cas, elle est rouge.
En effet, quand on est comme moi pleine d'énergie, il faut bien trouver un moyen de se défouler. Et quel meilleur moyen connaissez vous que se promener longuement, le nez au ras du sol, à humer tout ce qui s'y trouve.
Dans le cadre desdites balades, il y a deux plaisirs supérieurs à tout : le premier consiste à trouver sur le sol une de ces petites boules à macher, que les deux-pattes, avec leur odorat limité, jettent dédaigneusement, alors que c'est encore plein de saveurs. Le deuxième est encore meilleur, c'est se retrouver entre ami(e)s de toutes races... J'adore ça : dès que je vois un copain ou une copine, je suis sur que je vais bien m'amuser... Et j'en ai plein : Tchouk le golden retriever, Starsky le boxer, ou le husky, dont j'ai encore du mal à comprendre le nom, il faut dire que, en plus de ses yeux bleus pales (il fait craquer mon coeur de petite boulette....) il a un accent à couper au couteau.
Mais comme vous pouvez le voir, c'est avec Tchouk que je m'amuse le plus. Il est immense, mais on s'amuse a emmeler les cordes qui nous servent à retenir nos deux-pattes, et après, on se flaire partout, c'est l'extase..
Enfin, je comprends bien que cela ne vous branche pas, vous les deux-pattes, il faut dire que vous ne sentiriez même pas la présence d'un de vos congénères si on ne vous le mettait pas en face de vous...
Bon, pas grave, je vous aime bien tout de même.
Et pour la peine, je retourne machouiller la gomme de tout à l'heure, elle a encore un peu de parfum de cerise, je crois, ou de fraise... En tout cas, elle est rouge.
mardi, janvier 04, 2005
Plouf !
Ca y est, j'y suis arrivée ! Depuis le moment que j'attendais ça !!!
Mais à dire vrai, ce n'est pas aussi agréable qu'il me semblait... Encore une fois, je ne comprends pas ces deux pattes.
Bon d'accord, j'explique : ce matin, comme souvent, j'ai vu mon deux-pattes entrer dans une petite pièce, dans laquelle il entre souvent, mais c'est pas son panier. Non, quand il y entre, il ressemble à rien, et quand il en sort... ben en fait à pas grand chose, mais il ne sent plus moi, alors je suis obligée de le recouvrir de bave pour qu'il sache bien qu'on est de la même meute.
Et il accepte rarement que j'entre avec lui :-(
Bon, ce matin, il devait encore être dans les croquettes, car il a mal fermé la porte.
Donc, au bout d'un moment, quand j'ai entendu plein d'agitation dans la pièce, j'ai pris mon élan, et j'ai foncé sur la porte. Elle a pas résisté du tout, et hop, j'ai pu continuer ma course.
Là, j'ai constaté qu'il était couché (quel fainéant !!!) dans une sorte de grand machin blanc, d'où de la vapeur montait.
J'ai donc fait un grand saut, et je me suis retrouvée en équilibre sur le bord de ce truc. C'était instable, et mouillé, alors j'ai glissé et plouff, je me suis retrouvée dans l'eau jusqu'au cou, et même au delà ... Mon deux pattes a bien aimé je présume, car il s'est précipité sur moi, et m'a prise dans ses bras.
Bon, au final c'était assez agréable, et il en a profité pour me frotter partout, sur le dos, le ventre, dans le cou. Il m'a recouvert de bonne mousse qui sent bon (dessus la bouteille c'est marqué "spécial bébé boulette") puis m'a encore remouillée, comme si j'en avais besoin.
Après, j'ai trouvé que ça suffisait, alors je suis resortie, en me disant que j'allais m'ébrouer au sec, car ça suffisait pour moi.
Mon deux-pattes a pas aimé que je l'abandonne, il m'a donc courru après, mais il étant encore plus mouillé que moi, et le temps qu'il me rattrape, y'avait de l'eau partout, c'était marrant !!! Au final, il m'a attrapée bien sur, c'est pas juste, il m'a coincée dans mon panier.
Pour me remercier, il m'a enveloppée dans ma couverture que j'aime bien, et il m'a frottée partout, partout. Bon, ça ne vaut pas de s'ébrouer dans le soleil, mais c'est pas désagréable, je vous le confirme.
Mais moralité, je sais pas si je tenterai de refaire ça, c'est franchement pas aussi bon qu'un bain de soleil comme celui que je vais aller pendre maintenant sur le panier de mes deux-pattes
Je vous fais une grande lechouille et a bientôt
Mais à dire vrai, ce n'est pas aussi agréable qu'il me semblait... Encore une fois, je ne comprends pas ces deux pattes.
Bon d'accord, j'explique : ce matin, comme souvent, j'ai vu mon deux-pattes entrer dans une petite pièce, dans laquelle il entre souvent, mais c'est pas son panier. Non, quand il y entre, il ressemble à rien, et quand il en sort... ben en fait à pas grand chose, mais il ne sent plus moi, alors je suis obligée de le recouvrir de bave pour qu'il sache bien qu'on est de la même meute.
Et il accepte rarement que j'entre avec lui :-(
Bon, ce matin, il devait encore être dans les croquettes, car il a mal fermé la porte.
Donc, au bout d'un moment, quand j'ai entendu plein d'agitation dans la pièce, j'ai pris mon élan, et j'ai foncé sur la porte. Elle a pas résisté du tout, et hop, j'ai pu continuer ma course.
Là, j'ai constaté qu'il était couché (quel fainéant !!!) dans une sorte de grand machin blanc, d'où de la vapeur montait.
J'ai donc fait un grand saut, et je me suis retrouvée en équilibre sur le bord de ce truc. C'était instable, et mouillé, alors j'ai glissé et plouff, je me suis retrouvée dans l'eau jusqu'au cou, et même au delà ... Mon deux pattes a bien aimé je présume, car il s'est précipité sur moi, et m'a prise dans ses bras.
Bon, au final c'était assez agréable, et il en a profité pour me frotter partout, sur le dos, le ventre, dans le cou. Il m'a recouvert de bonne mousse qui sent bon (dessus la bouteille c'est marqué "spécial bébé boulette") puis m'a encore remouillée, comme si j'en avais besoin.
Après, j'ai trouvé que ça suffisait, alors je suis resortie, en me disant que j'allais m'ébrouer au sec, car ça suffisait pour moi.
Mon deux-pattes a pas aimé que je l'abandonne, il m'a donc courru après, mais il étant encore plus mouillé que moi, et le temps qu'il me rattrape, y'avait de l'eau partout, c'était marrant !!! Au final, il m'a attrapée bien sur, c'est pas juste, il m'a coincée dans mon panier.
Pour me remercier, il m'a enveloppée dans ma couverture que j'aime bien, et il m'a frottée partout, partout. Bon, ça ne vaut pas de s'ébrouer dans le soleil, mais c'est pas désagréable, je vous le confirme.
Mais moralité, je sais pas si je tenterai de refaire ça, c'est franchement pas aussi bon qu'un bain de soleil comme celui que je vais aller pendre maintenant sur le panier de mes deux-pattes
Je vous fais une grande lechouille et a bientôt
Inscription à :
Articles (Atom)