dimanche, décembre 22, 2013

...

La vie de velvet s'est achevée hier, samedi 21décembre, à 11h57.

Sa vie aura été un modèle et elle mérite pleinement le nom qu'elle portait. Sa douceur, sa gentilesse, l'amour qu'elle nous a donné tout au long de ces neuf années ont été absolus

Elle m'aura appris plusieur choses, à commencer, et c'était le postulat initial, par assumer une responsabilité sur un être vivant

Elle m'aura appris également ce qu'est le don total de soi : elle s'est entièrement donné à son maître, ne remettant jamais en cause une de nos décisions, même quand on partait "faire des courses" et la confiait à des grands-parents ou autres amis. Elle n'aura jamais remis ce don en cause , même hier, lorsque le vétérinaire l'a plongée dans son dernier sommeil. Ele savait, sans l'ombre d'un doute, que toutes les décisions de son chef de meute étaient prises pour son bien.

Elle m'aura enfin appris une chose qui peut servir a tout possesseur d'animal : contrairement à un humain, un animal ne se plaint jamais de sa douleur, jusqu'à ce que celle-ci soit telle qu'il ne puisse plus la cacher. Donc si vous remarquez un changement de comportement de votre animal favori, dites vous qu'il est en train de vous dire, à sa façon, qu'il a besoin de vous. Ne mettez pas ça sur le compte de l'âge, la fatigue, ou une quelconque raison hormonale.

Mon chien, tu resteras à jamais dans mon coeur et dans le coeur de toute la famille.




jeudi, juillet 09, 2009

Boulette aux herbes….

Pas une seconde à moi, dans cette période trépidante, je sais, je vous néglige…

Pourtant, y’a plein de choses qui sont arrivées dans ma vraie vie de chien…

Y’a les habituelles, telles que des promenades à la campagne, où j’ai tant de place pour me défouler et faire travailler mes papattes, et même si avec l’arrivée du dernier chiot, on n’a pas autant été à la campagne qu’avant, c’est arrivé quelques fois, me permettant de ne pas faire de gras…

Ne rigolez pas comme des hyènes hystériques, j’arrive à un âge où il faut commencer à faire attention aux kilos superflus… Je vais avoir 5 ans, ce n’est pas encore l’âge de l’arthrite, mais je ne suis plus de la première jeunesse, même si je me maintiens…

Y’a aussi eu des choses moins habituelles, comme quand par exemple mon deux pattes a tenté de marcher sur trois pattes, mais avec une cassée… Ca faisait que les promenades du soir étaient suspendues, qu’on me négligeait, me demandant de me contenter de la pelouse attenante à la niche, ce qui n’était pas si mal, même si pas pareil, avec aucune bonne odeur à renifler…

Y’a aussi eu une activité que je me souvenais avoir déjà connue, peu de temps après l’arrivée de la petite chienne, quand on était encore dans la grande ville sans herbe. Un jour, mes deux-pattes ont commencé à chambouler toute la niche, à tout mettre sans dessus dessous, à faire des boîtes, des boîtes et encore des boîtes, et à déplacer ma couche sans cesse, à presque faire que je ne savais plus où me coucouche-panier, que je devais me rabattre sous leur niche, entre une boîte et un sac, avec en guise d’oreiller une paire de « sur-papattes » …

Ce grand chambardement a eu la même conséquence que quelques temps plus tôt, à savoir qu’on m’a encore changé de niche, pour une nouvelle, avec de nouvelles odeurs, de nouveaux voisins, de nouvelles promenades… Et ça a eu un autre avantage : pour je ne sais quelle raison, mon deux-pattes, qui avait pris l’habitude de ne pas se promener le matin, sans doute par fainéantise, a repris cette habitude, et nous sortons à nouveau marquer les frontières de mon domaine deux fois par jour, au réveil et avant de se coucouche-panier. Ca lui fait le plus grand bien, je trouvais qu’il commençait à faire du gras… Mais c’est ça d’être le chef de meute : on est forcément le plus âgé, et si on ne s’entretient pas on n’est plus apte à mener la meute, on n’a plus qu’à aller ronger son os dans son trou et laisser la place aux jeunes, aux jeunes boulettes par exemple…

Mais bon, j’aime bien la nouvelle niche : y’a peut être pas mal d’escaliers, chaque génération de la meute habitant un niveau (le chef de meute en bas, moi au milieu à tout surveiller, et les chiots en haut, protégés des prédateurs éventuels), mais le jardin est agréable, les voisins pas dérangeants, à l’exception d’un excité de westie et de quelques chats qui se croient tout permis et viennent (ou tentent de venir, j’y mets bon ordre) envahir MON jardin dès que j’ai la croupe tournée…

En plus, comme c’est plus proche de la niche de campagne avec son immense terrain de jeu, on y va encore plus, c’est encore meilleur pour mes papattes…

Mais là, pour le moment, on est à la plage, c’est pas le même terrain de jeu, y’a plein de quatre-pattes en « ouaff-camp-ce », comme moi, donc personne n’est franchement chez lui, la hiérarchie n’est point trop figée, seuls les quelques locaux tentent d’imposer leur loi, mais avec peu de succès, car à dire vrai, on n’en a rien à faire, et je ne suis pas la dernière à penser ça…

Allez, sur ce, moi je retourne m’allonger à l’ombre de mon laurier, il y fait frais, j’y suis pas mal du tout…

Grosse léchouille salée…

lundi, mars 23, 2009

le jeu est le propre de la boulette

Ca fait longtemps que j’ai pas demandé à mon deux pattes de retranscrire des nouvelles, mais il faut dire que la vie d’une petite boulette, passées les premières découvertes de la jeunesse, ce n’est pas aussi trépidant qu’on pourrait le penser. 

Je dirais même plus, cela se résume à un agenda bien régulier, à peine ponctué de quelques écarts, de quelques événements qui méritent la narration. 

Bon je sens bien qu’il se prépare pas mal de choses, il suffit de voir l’agitation frénétique de mes deux pattes. J’ai cru un moment que c’était l’arrivée d’un nouveau braillard dans la meute, mais je ne pense pas, car lors des précédentes augmentations d’effectif, j’ai pu noter, grâce à mon œil vif et à ma cervelle aiguisée, qu’un des éléments sans lequel la meute ne peut pas s’agrandir est une prise de poids et une inflation assez remarquable de ma deux pattes. Mis là, j’ai rien noté, donc pour le moment, la meute ne bouge pas. 

Je vous tiendrai au courant quand j’aurai trouvé la solution, mais y’a quelque chose qui se prépare, j’en donnerais pas ma langue au chat pour avoir la réponse, faut pas rêver, les matous matois, mais je suis prête à mettre ma papatte au feu, enfin pas trop, je tiens pas à roussir mon pelage. 

Mais bon même si y’a de l’agitation, cela ne vaut pas la peine d’en parler, tant qu’on n’a pas d’informations vérifiées et assertées. 

En revanche, l’autre jour, j’ai fait une découverte qui mérite, je trouve, que je vous la fasse partager, cela peut vous plaire autant qu’à moi ;-) 

Comme vous le savez, la boulette est joueuse ! comme je suis joueuse, je suis une boulette, et  comme je suis une boulette, je suis joueuse. Syllogisme me direz vous, ce a quoi je répondrai que ce n’est pas la peine de m’injurier, moi je suis polie… Mais bon pas grave, je vous pardonne, je ne vous en veux pas trop, je ne vous garde pas un chien de ma chienne, d’abord, la chienne, c’est moi, au cas où vous l’auriez oublié… 

Mais donc vous le savez, je vous en ai déjà conté deux mots, sans les compter d’ailleurs, donc il se peut qu'il y en ait eu plus de deux, je partage ma vie de petite boulette heureuse en trois : je dors, je mange, et je joue. Sorti de cela, rien n’a d’importance. 

Et comme le jeu est le propre de la boulette, je tente toujours de trouver plein de sources de jeux : je joue avec mes baballes, mes baballons, mes cordes, mes pouets, une pomme de pin ou encore un bouchon de bouteille que mon deux pattes va malencontreusement laisser à porté de mes mâchoires, enfin, je joue avec tout ce que je trouve. 

En général, je préfère jouer avec des choses bien solides, dans lesquelles je peux planter mes petites dents, et que je peux triturer avec délice dans tous les sens. C’est d’ailleurs pour cela que je ne joue plus avec  mon deux patte, pensez donc, il est tellement mou que j’ai rien dans lequel je peux mordre en rencontrant une résistance… 

Mais malgré ma préférence pour ce qui est bien dur sous les dents, j’avoue que l’autre jour, j’ai fait une découverte des plus plaisantes : comme j’avais envie de me défouler les papattes, j’ai fortement insisté auprès de mon deux pattes pour que nous prenions la niche qui bouge toute seule pour aller dans la niche qui a un grand jardin autour, au pays des pommes. Comme mon deux pattes ne sait rien me refuser, il a accepté ma demande, et nous sommes partis là bas. 

J’en ai bien sur profité pour me défouler les papattes, et je m’y suis donné à cœur joie, je vous prie de me croire, même s’il n’y avait plus de pommes, à croquer, pommes qui sont d’ailleurs à peine moins molles que mon deux pattes, mais qui ont juste meilleur goût ! 

Et là, alors que je me reposais après une très longue course, y’a un truc blanc, léger et duveteux, qui est venu se poser sur ma truffe… Ca m’a chatouillée, bien sur, et surprise, j’ai donc éternué. Cette petite chose a commencé à tournoyer autour de moi, en cherchant à se poser à nouveau là d’où je l’avais expulsée naso militari… J’ai donc recommencé, elle est revenue… j’ai vite compris que cette petite chose était, tout comme moi, joueuse, j’ai donc accepté son invitation, on a joué un bon moment comme ca, je tentais de l’attraper, elle s’envolait, puis redescendait, et je tentais de l’attraper à nouveau. 

Mais bon, j’ai pu constater qu’elle n’est pas très bonne joueuse, car à un moment, j’ai réussi a l’attraper dans ma gueule, mais sans trop serrer, j’avais bien vu qu’elle était fragile. Elle n’a pas aimé, et a montré son mauvais caractère, car après cela, après que je l’ai relâchée de ma gueule, elle n’a plus voulu s’envoler. Je pense qu’elle s’est vexée, mais ce n’est pas de ma faute à moi si nous, les boulettes, nous avons une salive abondante, mon deux pattes me l’a dit, c’est geai-nez-tic, c’est pas de notre faute… 

Non, je trouve qu’il n’y avait pas de quoi s’arrêter de jouer pour si peu… j’espère que la prochaine fois je verrai une de ses copines, moins bégueule si elle atterrit dans ma gueule, et qui acceptera de s’amuser avec moi...

lundi, janvier 05, 2009

J'aime pas ça...

Y’a des choses qui sont pas faites pour les boulettes… Parmi celles-ci, il en est une qui m’arrive au moment même où je vous écris.

Je parle de la neige bien sur… Franchement, il faut tout vous expliquer, vous avez la comprenote un peu lente… c’est le froid qui vous fait ça ??

Imaginez donc : votre cervelle, ou tout du moins ce qui est censé se trouver dans votre tête de deux pattes, est bien protégée du froid de la neige, tant elle est perchée haut. Pourtant, je vous trouve frigorifiés des neurones, ce soir...

Chez une boulette, ce n’est pas le cerveau qui est le plus à plaindre, car il est bien protégé par un manteau de fourrure.

Non, chez une boulette, ce qui pose le plus gros problème, ça se passe plus bas, beaucoup plus bas. Plus bas et deux fois plus que chez vous : les pattes ! Vous, deux-pattes , vous n’avez d’une part que deux pattes, d’autre part, vous les protégez par des surpattes isolantes, tant du froid que de l’humidité.

Nous, nous n’avons rien pour nous protéger, enfin la grand majorité d’entre nous car il et des simili nous, ne portant d’ailleurs pas le nom de boulette, ni même de canis canis, mais uniquement celui de « toutou à sa mémère », ce qui est révélateur, que leurs mémères affublent des mêmes surpattes qu’elles, ce qui n’a pas que des avantages, il suffit de voir leur démarche…

Mais bon, les boulettes ne connaissent pas ce déshonneur, et promènent leurs pattes directement et courageusement sur la neige…
Et moi j’aime pas la neige, mais alors, pas du tout.

D’abord la neige, c’est froid. Ensuite, c’est tout d’abord mouillé, puis ça gèle. Enfin, ça se glisse entre les coussinets, et ça nous déséquilibre totalement, rendant note démarche, d’habitude si souple, des plus anarchiques…

Non, sérieusement, qui peut aimer ça ? Pas moi, je vous le confirme. Mon deux-pattes a voulu m’entraîner dehors, dans la journée, je lui ai vite fait comprendre que s’il est fou, il n’a aucune raison de m’accabler de sa folie, et que c’est avec le plus grand plaisir que je l’ai laissé aller dehors se les geler (les pattes bien sur, à quoi penser vous ??), pour retourner me réchauffer le ventre sur ma place préférée en cette saison : la « souris cause au dieu Tor» *

Pourtant, il m’a fallu tout de même aller moi aussi me les geler, les pattes, mais je vous prie de croire que j’ai fait aussi vite que possible… j’ai même tenté de slalomer entre les plaques de neige, mais rien à faire, il y en avait partout…

Mais c’est décidé, je vais encore une fois, comme l’an dernier, hiberner, et je vous donne rendez-vous lorsque l’herbe sera à nouveau verte…

Enter temps, que personne ne vienne me déranger, merci.


* : le radiateur, NDLR

dimanche, novembre 23, 2008

Deux, c’est mieux qu’une ...


Enfin, c’est ce que disait une de vos « puces double des villes »* il y a quelques années.

Si on part de ce postulat, et qu’on le double, on devrait avoir un postulat doublement meilleur, non ?? Et arriver au fait que quatre c’est mieux que deux qui est mieux qu’une…

Pour preuve j’en donnerai uniquement l’exemple de la suprématie des quatre pattes sur les bipèdes. Et ce n'est meme pas la peine de parler des serpents...

Mais il y a tout de même des fois où la théorie atteint ses limites… Et dans ce cas, cela vous fait comme un boomerang, vous avez beau courir après, cela vous revient dessus avec plus de forces.
Et pour illustrer ça, je n’ai pas à chercher loin : il me suffit de prendre ce que mes deux-pattes viennent de me faire endurer en peu de temps :

Vous connaissez ma vie, tranquille, bien organisée, mémère quoi (j’allais pas dire pépère, m’avez bien regardée ??) Je dors, je joue, je vais voir les bébés deux pattes, je mange, je dors, je dors, je mange, je vais promener mon deux pattes, je dors. En gros, voila ma routine, pas désagréable, surtout quand, comme en cette saison, je peux m’allonger sur le radiateur, ca fait un bien fou au bidon…

Et en général, rien ou pas grand chose ne vient troubler cette quiétude nirvana-esque… De temps en temps, un deux pattes vient me tenir compagnie la nuit, quand il ou elle (excusez moi, j’ai beaucoup de mal à différencier les mâles des femelles deux pattes) ne semble pas en état de retrouver le chemin de sa niche. Mais ça ne dure pas, généralement ce sont des colocataires calmes.

En revanche, depuis quelques temps, mes deux-pattes ont décidé d’agrandir la meute de façon un peu trop extrême à mon gout : pensez donc : tout a doublé : non seulement le nombre d’ainés, mais également le nombre de chiots…

Et si les ainés connaissent leur place dans la meute, les chiots, ce n’est pas la même histoire… Y’avait les chiots partout, qui courraient, jappaient, tentaient de me tirer les oreilles, venaient se servir de MES croquettes, sans bien sur me proposer de partager les leurs…

Et malgré le fait que je suis l’ainée des chiots, même si pas encore dans le clan des ainés, mes deux pattes ne m’ont pas laissée les remettre à leur place, ils ont à peine toléré que je vienne débarbouiller les plus jeunes quand ceux-ci avaient fini de se sustenter…

Au final, voyant que cette meute n’allait pas se calmer, j’ai fini par aller me cacher dans mon terrier, là au moins ils ne sont pas venu me déranger, respectant en cela le principe fondamental de la meute : « Niche de velvet ne s'envahit ni se se prête »...

* : publicités (NDLR)

mercredi, octobre 01, 2008

Sujet qui me touche particulièrement....

Ceux qui connaissent mon histoire savent pourquoi...
Je vous laisse lire, merci de votre temps : 

C'est dans la nuit du 17 au 18 septembre 2008 que des individus se sont introduits dans l'élevage du ROYAUME VALYO et ont volés 9 bouledogues francais....

AIDEZ NOUS A LES RETROUVER,

On compte sur vous, faites passer ce message à tous vos contacts, mettez un article sur votre blog, la moindre information peut etre importante et cruciale! Ce message doit faire le tour de la France et meme plus si il le faut!

Il faut agir vite avant qu'ils ne finissent on ne sait où!! Si vous trouvez des infos sur des sites d'annonce ou autre n'hésitez pas, il faut mettre la pression aux agresseurs, aux gendarmes pour qu'il mene l'enquete serieusement et c'est la médiatisation de l'affaire qui le fera!

Si vous trouvez des infos communiquez les nous au plus vite, récompense pour toute infos qui ferait avancer l'enquete!!

On veut qu'ils rentrent à la maison...

Ramenez nous nos boubous!!

Merci pour votre soutien , votre mobilisation, votre aide et votre solidarité!!

Ci-dessous les n° de puces electroniques ou tatouages des Bouledogues volés :

Femelles Bouledogues

nées en 2004
◘ VOLKHANE (250269800601623)
◘ VIOLLAINE (250269400082066)
◘ VÉNUS (2DMT223)
◘ VICKY (2DRS658)

nées en 2005
◘ AGRIPPINE (2EMT790)
◘ AFY (250269400165705)

nées en 2007
◘ CALAMITY JANE (25026960212218)
◘ CHICKY BOOM (250269602277292)

Mâle Bouledogue
◘ CASANOVA (250269801148712)

Ensemble on peut les retrouver!!!

Pour toutes informations, nous contacter via notre site www.royaumevalyo.com ou par téléphone au 06.87.15.69.41

lundi, mai 26, 2008

recherche partenaires pour nouveau sport

Tout le mode connait le football, ça se joue comme un pied (ah non, ça c’est juste au club de la grande ville des deux-pattes, le Pied Es Geai ou quelque chose comme ça, enfin une histoire d’oiseau), enfin, avec les pattes

Il en va de même pour le handball, qui se joue avec les papattes de devant, personne n’ignore de quoi il s’agit. C’est de la même famille que le basketball, qui ne se joue pas avec un panier, puisqu’un panier on dort dedans, mais avec les mêmes papattes de devant.

Y’a d’autres sports, qui combinent ces papattes, de devant et de derrière, comme le ruguedeby, où les deux-pattes se battent plus férocement qu’une meute de boulettes affamées à qui on présente un gros morceau de viande…

Y’en a d’autres qui se jouent toujours avec une baballe, mais où, afin d’aller plus vite, le deux-pattes, qui n’est pas un grand sportif, se perche sur un quatre pattes que j’aime pas trop, si vous vous souvenez, ça s’appelle la chemise, ou le polo, je ne me souviens plus trop bien, mais enfin, c’est pas un sport pour boulette…

Tous ces sports, c’est bien beau, mais y’en a pas tellement qui soient adaptés aux quatre pattes… Et pourtant, y’a rien de mieux que le sport pour se détendre, et la franche camaraderie d’une meute de sport, c’est irremplaçable…

J’ai donc fait travailler ma petite (ma bien remplie) caboche, à la recherche d’un sport praticable par tous et toutes, et j’ai finalement trouvé… J’ai créé le gueulebaballe. Les règles sont très simples : il suffit d’un terrain de jeu d’une taille indéterminée, mais qui doit être totalement clôturé, sinon ça serait trop simple pour l’équipe des lévriers…, d’une baballe, et de gueules… Le nombre importe peu, la parité et le nombre des équipes non plus. Le principe en est donc très simple : il suffit de conserver la baballe le plus longtemps possible et si on la perd, il faut la récupérer le plus vite possible…

Je viens de créer la FCG (la fédération Canine de Gueulebaballe) et je recherche maintenant des licencié(e)s, si cela vous dit, contactez moi, les formalités d’adhésion sont très simples : il suffit de venir, et le matériel est rudimentaire, tout le monde l’a : une gueule vive et précise…

Alors, à vos pattes, prêts, gueulebaballez…